C’est notre dernier jour dans la Daintree. Nous avons repéré plusieurs petites balades à faire. Nous commençons par le Dubuji Boardwalk : c’est une balade d’environ 30 minutes sur un ponton en bois dans la forêt.
Il y a beaucoup de mangroves autour de nous (arbres qui ont des racines externes).

Lors de cette marche, nous avons vu notre premier casoar ! Dans la Daintree, il y a partout des panneaux « attention casoars » mais jusque-là, nous n’en avions pas encore croisé. C’est un animal proche de l’autruche, avec une tête bleue et rouge. Apparemment, il vaut mieux ne pas s’en approcher car il peut être dangereux. Plus le voyage avance, plus nous pouvons cocher d’animaux peu courants en Europe que nous avons vu ici et en liberté 🙂 !

Ensuite, nous enchaînons avec la grande boucle du Jindalba Boardwarlk. Celle balade est moins aménagée que la première puisque c’est un simple sentier au milieu de la forêt, ce que nous préférons ! La terre est rouge, cela va très bien avec le vert des arbres. Nous apercevons au loin encore deux casoars et un wallaby qui est passé devant nous à toute vitesse !
Pour finir notre séjour dans la Daintree Forest, nous empruntons la route de graviers qui nous mène à Cape Kimberley Beach.
Vers 13h, nous reprenons le ferry dans le sens inverse.
Au programme de cet après-midi : les Mossman Gorges. On en a beaucoup entendu parler comme un endroit à voir. Par chance, cette fois il fait beau quand nous allons voir cette rivière/cascade. Ce site est tenu par des aborigènes et fait aussi parti du Parc National de la Daintree. On est obligés de payer 9,50 AUD par personne pour se rendre au Gorges en bus depuis le parking. Une fois sur place, nous commençons par faire la balade d’une heure autour de la rivière et dans la forêt.
Nous finissons par une baignade rafraîchissante mais très agréable dans la rivière !
A 16h, nous reprenons la route vers Cairns. En chemin, nous voyons un cacatoès parterre au milieu de la route, une aile en l’air. On ralentit et on s’aperçoit qu’il est encore vivant. Pour éviter qu’il se fasse écraser, on le met sur le côté de la route, avant d’appeler un vétérinaire. Celui-ci nous dit de lui amener, sinon il ne pourra rien faire. Lucile prend donc le cacatoès, et nous voilà avec un nouveau compagnon de route ! Cinq minutes plus tard, nous sommes chez le vétérinaire qui devrait bien s’en occuper. C’était notre bonne action de la journée !